Évoquer la vétusté en assurance, à quel moment ?

Évoquer la vétusté en assurance

Pour les biens soumis à une assurance, en cas de sinistre vous pouvez profiter d’une indemnisation. Cependant, les compagnies d’assurance ne vont pas vous donner la somme à laquelle vous avez acquis le bien. Cela semble tout à fait logique. Bien sûr, vous n’avez pas besoin de comprendre dans les détails le processus de ces opérations. Mais, connaitre les notions de base qui peuvent s’appliquer peut s’avérer utile. La vétusté en fait partie.

La vétusté : une notion liée au concept de temps

Lors de votre achat à neuf d’un produit correspond une valeur donnée. Avec le temps, il va s’user et se déprécier. C’est cette notion de dévalorisation de bien à travers le temps qui sera le noyau du concept de vétusté. Elle va venir influencer les indemnisations reçues en cas de sinistre subit par le bien, qu’ils soient des biens mobiliers ou immobiliers. Son influence dépend du type de contrat que vous avez établi avec votre assureur. Ce qui est sûr c’est qu’une réduction prévue par la loi sera appliquée. Pour plus d’informations sur le sujet, la plateforme Le Site de l’Assurance est faite à cet effet.

Sans entrer dans les détails des calculs relatives à la vétusté, il bon de savoir que les compagnies d’assurance font appel à des experts pour les faires. Dans certains cas, elles se réfèrent à l’ancienneté et à la nature de l’équipement. Les paramètres qui entrent, en général, en jeu sont : la durée de vie moyenne du bien ; la qualité de son entretien ; parfois les caractéristiques techniques du bien.

La vétusté : des garanties différentes selon le bien assuré

Tout d’abord, il faut savoir qu’il y a deux types de garanties. L’une dite à valeur d’usage, après calcul de la vétusté on obtient la valeur réelle du bien, c’est cette dernière qui sera remboursée par votre assureur. L’autre est dite à valeur à neuf. Ce deuxième type vous offre un petit plus par rapport à celle à valeur d’usage, sans pour autant récupérer le prix d’achat à neuf du bien. Vous aurez en surplus de la valeur réelle un pourcentage à hauteur de 25 %, selon les conditions, sur la réduction due à la vétusté.

Pour les logements, le coefficient de vétusté est d’une importance capitale. Vous devez y faire très attention, car il peut varier en fonction des assureurs. En règle générale, il dépend des éléments constitutifs de votre habitation tels que : la charpente, la maçonnerie, le sol et tant d’autres. Pour les mobiliers et biens divers, un taux constant de 10% par de vétusté sera appliqué. Les appareils informatiques font cependant exception, des taux variables peuvent être appliqués (25% en 1 an puis 50% en ans).

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