« L’éducation se fait à deux » oui, mais quand on est divorcée, ce n’est pas aussi simple ! Et pourtant être deux serait bien utile ! Et oui, mère divorcée avec ses 3 adolescentes (14, 16 et 19 ans !) Un homme dans tout ça, ce ne serait pas de refus, mais bon ce n’est pas le cas, alors on fait avec ! J’adore mes trois filles, là n’est pas le problème, mais une fille en pleine crise d’adolescence, ce n’est pas simple, alors trois en même temps, je vous laisse imaginer !
L’ainée
Bon, heureusement, l’ainée est sortie de la crise, mais il y a toujours de problèmes d’orientation, et puis maintenant qu’elle se considère adulte, elle me parle d’égal à égal, et me répond comme à d’autres copines, bref aucune autorité, ni aucun conseils à donner sinon, et bien sinon je me fais envoyer boulet ! Quelle reconnaissance !
La cadette
Mais ce n’est pas la pire ; celle de 16 ans, c’est le pic de la rébellion : « je ne veux rien faire », je passe mes journées enfermées dans ma chambre, je descends manger si je veux (évidemment je n’aide SURTOUT pas), je ne travaille pas en cours, je fais tout l’inverse de ce que vous me demandez, et je fais preuve d’une insolence rarissime ! Quelle joie !
La petite dernière
Bon la petite dernière, ça pourrait aller, si mademoiselle ne demandait pas de nouvelles tenues tous les jours, si elle n’était pas jalouse de ses sœurs, et si elle ne boudait pas tous les soirs à table ! Car oui, comme c’est la petite dernière, elle veut l’attention de tout le monde, alors entendre parler de l’orientation de ses ainées, elle ne veut pas, donc elle boude… Non mais où va-ton ?
Oui, j’aime mes filles, mais quand même, ce n’est pas simple tous les jours, je vous le dis !
Un clin d’œil offert par l’annuaire de la famille Ekoomi